No products
Personnel:
Thomas Delor (d), Simon Martineau (g), Georges Correia (b)
Reference: FSNT-553
Bar code: 8427328435536
"Batteur autodidacte, passionné de Thelonious Monk, a ourdi - au millimètre - toutes les pièces du trio (Simon Martineau – guitare; Georges Correta – contrebasse). Ancien prof de maths, lancé par passion dans la musique, il accumule les prix. Avec un coup de chance, puisque Jordi Pujol, le créateur du label Fresh Sound Records, repère le Niçois. Le signe illico. Voici l’album. Singulier, à cheval entre modernité et tradition, équilibré, à la musicalité foisonnante, aux envolées maîtrisées de guitare, aux déroutants dialogues contrebasse/batterie, et aux idées baroques, comme le solo de batterie ponctué par le clavier d’une machine à écrire."
-Bruno Pfeiffer (21 Décembre, 2018)
http://jazz.blogs.liberation.fr/les-jazzmen-ont-un-incroyable-talent-qualifies-en-2018/
_____________________________________________________________________________________
"Un duo entre une batterie et une machine à écrire: Cést par ce prélude étonnant que début "The Swaggerer" -le fanfaron en anglais-, premier album personnel de Thomas Delor, bateur autodidacte qui a abandonné l'enseignement des mathématiques pour se s'adonner à sa passion. Rien de trop cérébral pour autant dans cet opus qui s'inscrit dans une véine résolument jazz, avec des racines bien ancrées dans la tradition. Mais rien de standard ou de convenu non plus, puisque ce sont des composition de Delor qu servent de canevas aux conbversations tripartites de son trio. Un trio où se distingue le guitarist Simon Martineau dont le jeu limpide et le son clair, à la fois classique et moderne, iluminent constamment l'ensemble. Delor n'est évidemment pas en reste, déployant ses talents de coloriste et de géomètrepour alimenter et souligner le discours de ses compagnons, avec son drumming tantôt souple, tantôt tendu, mais toujours précis et généreux.
Très homogène, "The Swaggerer" séduit ainsi par son côté charnel et organique, en alternant les moments denses et les passages aérés. Une musique parfaitement maîtrissé, mais vivante, pleine de rebondissements et d'interactions, qui tient en haleine juaqu'au bout."
Felix Marciano (Oct. 2018)
-Album Révelation "Jazz Magazine"
_____________________________________________________________________________________
"J'aime bien quand les disques ont des idées et racontent des histoires, ce qui est bien le cas avec cette production du batteur et compositeur Thomas Delor. Bien que très court, le premier titre, intitulé non sans humour Prélude En Si Majeur, annonce la couleur alors le leader accompagne de sa frappe experte les sonorités d'une antique machine à écrire (à moins que ça ne soit le contraire). Belle introduction pour un festival inhabituel de percussions qui inclut beaucoup d'associations d'idées tout en respectant les subtilités du développement mélodique et harmonique. Prenez From the New World par exemple qui est dérivé de la Symphonie Du Nouveau Monde d'Antonin Dvorak : ce n'est pas seulement un arrangement jazz d'un titre classique mais bien une relecture complète croisée en plus avec une version de John Williams présente dans le film Star Wars. En moins de six minutes, on voyage dans la galaxie au fil d'une composition contrastée et très scénarisée. Ou encore Moonlight qui revisite la Sonate "Clair de Lun" de Beethoven en y intégrant des effets percussifs inattendus au sein de cette pièce lente et romantique. Ou enfin "Tu L'as Vu Monk ?" en forme d'exercice espiègle dédié à Thelonious Monk dont on retrouve la patte dans l'écriture et le style be-bop très alerte des improvisations.
Les deux autres membres du trio sont le contrebassiste Georges Correia, qui fait corps avec le leader dans les constants rebondissements de la section rythmique, et le guitariste Simon Martineau dont la fluidité du phrasé et le jeu harmonieux en accords ont déjà été mis en relief dans ces pages à l'occasion de la sortie quelques mois plus tôt de son propre album, One. Ensemble, les trois musiciens constituent un trio soudé qui tisse une série de pièces attachantes magnifiquement texturées, il est bon de le souligner à nouveau, par la frappe aux mille nuances du batteur. Le morceau que je préfère ? Peut-être le titre éponyme pour ses changements de rythme imprévisibles, l'incroyable interaction entre les trois complices, l'improvisation lumineuse du guitariste, et les explosions quasi telluriques de batterie qui sous-tendent la construction et la relancent de manière permanente. Mais franchement, il n'y a rien à jeter dans ce répertoire d'une grande diversité dont on suit le déroulement avec le plus vif intérêt. Thomas Delor a pensé son album en compositeur plus qu'en batteur et c'est tant mieux mais, d'un autre côté, c'est aussi sa technique de batteur qui lui a permis d'atteindre un tel niveau de sophistication. Pour un premier essai, ma foi, c'est une belle réussite!"
Pierre Dulieu et Jean-Constantin Colletto
http://www.dragonjazz.com (Sélection 2018)
_____________________________________________________________________________________
Quotes:
"Une (belle) surprise. […] Une manière d’écrire ludique et sérieuse à la fois qui attrape irrésistiblement l’oreille." (Jazz News)
"Un trio […] interactif aux thèmes et échanges fins, une musique très nuancée, et un batteur rythmicien autant que coloriste, expressif sans être bavard. Le tout donne un premier album très réussi…" (Batteur Magazine)
"Un trio en pleine lumière, un batteur inventif au jeu mélodique… Que demander de plus? Le jazz est entre de bonnes mains. Les influences majeures de Thomas Delor nourrissent ce disque qu’on écoute dans un état de plaisir porté par la connivence entre trois musiciens qui démontrent au passage ce que signifie l’art de la conversation." (Citizen Jazz)
"Une élégante pépite ! Un son qui chante et qui enchante." (Action Jazz)
"Incontournable." (Le Jazzophone)
"Un art du trio qui vaut de l’or. On se régale!" (La Gazette Bleue)
"Une réussite absolue. Splendide The Swaggerer. Un album qui a le sens du suspens. On l’écoute de bout en bout avec curiosité, sans zapper ni se lasser… cela n’est pas si courant!" (Latins de Jazz)