Personnel:
Thomas Delor (d), Simon Martineau (g), Georges Correia (b)
Reference: FSNT-592
Bar code: 8427328435925
This new disc of the trio saw the light of the day thanks to the trust and the help of Jordi, and of course, of Georges and Simon. It is all the more important for me that it represents an absolute clarification, a certain assertion of the sound that I want to offer to the trio. After "THe Swaggerer" and our many tours, I wanted to make this recording and to write, for this occasion, this new music entirely as I am, without any taboo: I think a lot is here, my attention, my intention, my humour, my commitment, my listening, my search for the "beauty", for the "strength", the playful aspect whic is close to my heart, my past in mathematics, my everyday life... all in silence!
—Thomas Delor
"This release puts me in mind of Ginger Baker’s two severely underrated trio albums featuring Bill Frisell and Charlie Haden, respectively, Going Back Home (Atlantic, 1994) and Falling Off The Roof (Atlantic, 1996). Here was the star drummer with Frisell automatically taking the limelight but Baker’s often idiosyncratically metered drumming still managed to captivate the listener.
So it is with Thomas Delor’s new album, which follows-on from his debut recording The Swaggerer (Fresh Sound New Talent, 2018), his trio once more competed by guitarist Simon Martineau and the ever-reliable double bassist Georges Correia.
Whilst Delor’s sparse yet meticulous drumming is restrained there’s always a thrill in hearing his sporadic percussive adornments flit from channel to channel. But it’s undoubtedly Martineau who maintains the attention; his tone is not unlike Frisell’s, albeit without the latter’s characteristic use of glissandi.
Two thirds of the album consists of Delor originals including the lengthy opener Syllogism which affords plenty of opportunity for the drummer to demonstrate his often highly impressive virtuosity. The equally lengthy title track is also worth a mention, and showcases once more Delor’s compositional prowess.
Of the three non-originals, Charlie Parker’s My Little Suede Shoes, which first appeared on the album South Of The Border (Mercury, 1952) is an upbeat Latin number, more like a Sonny Rollins tune and Martineau even manages a brief quote from Doxy as if to re-emphasise Bird’s late-stage change of direction. There’s also a charming version of Charles Trenet’s Que Reste-t-il De Nos Amours? The outlier however has to be Frédéric Chopin’s funereal Prelude Op. 28, No. 20, which gradually gains traction over its seven minutes course; Martineau here is double-tracked to add polyphonic piquancy and it culminates with some arresting distorted guitar work.
Considering this is supposed to be that “difficult” second album, this surely ranks as Delor’s best record to date."
Roger Farbey (July 22, 2020)
https://jazzjournal.co.uk/
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"Ces trois-là sont unis pour le meilleur, qu’on se le dise… Delor est un musicien soucieux du détail et de l’équilibre des forces en présence, très attentif à ce qui se joue entre la baguette et la cymbale (ou la peau), juste avant ou après la frappe, comme s’il s’agissait de suspendre le temps pour mieux le marquer et de ne pas envahir l’espace au détriment de ses partenaires.
Son sens de la mesure va de pair avec un amour des nuances, celles des couleurs qu’il sait faire naître de son instrument, dont la dimension mélodique est chez lui primordiale.
Comme un modèle du genre. Thomas Delor explore le mot « jouer » dans toutes ses acceptions. Au bout du compte, Silence The 13th ressemble à s’y méprendre à une déclaration d’amour gourmande faite à la musique. »
-Denis Desassis ("Elu" Citizen Jazz)
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"Deux ans après The Swaggerer, Thomas Delor revient avec un album qui confirme d'une part sa différence et, d'autre part, l'importance qu'il accorde à l'écriture de sa propre musique. Et cette fois encore, l'émotion est au rendez-vous.
On apprécie l'osmose naturelle entre les trois musiciens parfaitement ajustés dans leurs improvisations respectives. Tout ça semble complètement spontané et dégage une fraîcheur qui laisse pantois.
Encore une fois, Thomas Delor a composé un album varié et plaisant qui met en évidence la technicité de ses complices, ses facultés de compositeur et d'arrangeur ainsi que son jeu de batterie aussi vivace que singulier."
-Dragon Jazz
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"Le leader confirme ses qualités de compositeur et d’instrumentiste. L’album cultive l’art de la nuance et séduit par ses pulsations contrastées, ses couleurs captivantes et ses silences… Véritables notes de musique.
"Silence The 13th" révèle un répertoire de neuf titres aux climats riches et contrastés. Les échanges des trois instrumentistes laissent percevoir leur complicité, leur écoute mutuelle et la richesse de leur expression.
Le batteur Thomas Delor confirme sur son instrument ses talents de mélodiste avéré. C’est un bonheur absolu de l’écouter égrener note par note les thèmes sur les peaux de ses tambours ou de vibrer au gré de ses explosives envolées.
Captivant de bout en bout."
-Latins de Jazz
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"Dans chaque plage s'épanouit la singularité de chaque composition et de chaque membre du trio.
De plage en plage, notre attention est captée, notre curiosité attisée, et nous sommes séduits par cette musique dans laquelle l'élaboration n'étouffe nullement le plaisir. Une vraie réussite."
-Xavier Prévost (Les Dernières Nouvelles du Jazz)
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"Avec Silence The 13th, Thomas Delor confirme tout le bien qu’on pense de lui -après The Swaggerer, Révélation! Jazzmag en 2018-. Au cœur de ce trio, son drumming aerien et félin d’une précision volontiers étourdissante nourrit en permanence le discours de ses deux compères sans qu'ils s'égarent en bavardage (ici le silence est un ami)"
**** (4 étoiles) Jazz Magazine
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Quotes:
"Deuxième album, deuxième réussite" (Bruno Guermonprez, Jazz News Magazine)
"Tout simplement EXCELLENT…!" ("Indispensable", Paris Move, Blues Magazine)
"Une vraie «musi-qualité»." (Batteur Magazine)
"La musique est certainement complexe, subtile mais elle paraît simple ce qui est le propre des artistes et des savants qui maîtrisent leur sujet." (Le Jars Jase Jazz)
